Tout est parti d’un désir de donner des habits aux enfants abandonnés en Afrique de l’ouest.
On a donc préparé des dépliants qu’on a distribués un peu partout.
A notre grande et agréable surprise, et sur plusieurs mois nous avons reçu beaucoup de donations composées d’habits, de livres, de jouets, et de mobiliers de maison.
J’en étais personnellement très émue et surtout impressionnée par le nombre de donateurs. La liste des personnes à remercier était très longue.
Chacun selon ses moyens, mais il était évident que tous voulaient témoigner leur amour et leur compassion pour les enfants abandonnés et démunis.
Notre conviction était maintenant faite ; il fallait créer un creuset pour collecter ces dons et les acheminer vers les bénéficiaires : ces enfants qui ont besoin de très peu pour voir leur quotidien amélioré.
Au cours des mois qui ont suivi, nous avons collecté des dons, de New York a Washington D.C., Il a fallu louer des camions entiers pour pouvoir récupérer les précieux dons pour nos enfants.
Des paquets ont été constitués et mis sous conteneurs puis expédiés sur l’Afrique.
Nous planifions d’être au Bénin au moment ou le conteneur arrivera pour pouvoir procéder à la distribution.
Abake’s Foundation voudrait, ici, remercier tout ceux qui ont fait preuve de générosité en se montrant sensible à notre appel.
Abake’s Foundation aimerait aussi remercier tout ceux qui ont aidé à ramasser et a transporter le fruit de la collecte. Abake’s Foundation aimerait remercier tout ceux qui ont contribué financièrement.
Nous avons actuellement un contenaire au port de Cotonou avec de differentes affaires donnees a la fondation comme des Habits, des fournitures de maison. Le contenaire a ete bloque a Cotonou. Notre intention etait de distribuer les affaires aux populations les plus deprivees.
Malheureusement cela n’a pas ete possible avant la fin de notre sejour. La fondation a ete obligee de confier la procedure a des personnes qui sont sur place afin de pourvoir sortir le Contenaire.
Apres des mois, nous avons ete oblige d’abandonner le contenaire a Cotonou a cause des difficultes a le faire sortir.